« Ce n’est pas un féminicide tel qu’on l’entend » : un an de prison ferme pour un « aidant » à bout
Un homme jugé pour avoir étranglé son épouse, alcoolique et bipolaire, a quitté libre vendredi les assises de l’Hérault.
La cour a semblé reconnaitre le geste désespéré d’un « aidant » à bout.
Il avait été condamné à cinq ans de prison, dont quatre avec sursis.
La cour a semblé reconnaitre le geste désespéré d’un « aidant » à bout.
Il avait été condamné à cinq ans de prison, dont quatre avec sursis.